Jeudi 29 juillet - 20 km
Comme prévu, pour notre dernier jour, nous décidons de tracer un circuit à partir de celui d'hier, mais en prenant les différents chemins que nous avons croisés, mais pas empruntés.
Joël s'y colle, à partir de la carte prêtée par notre hôte.
Philippe, Matthieu et moi partons à pied, à la recherche des mégalithes. La forêt est truffée de chemins forestiers ne figurant pas sur la carte et nous nous perdons à plusieurs reprises. Mais la balade est sympa.
Aujourd'hui, nous nous retrouvons également au gîte pour déjeuner. Cet après-midi au programme, ménage, rangement et balade en bords de Loire pour les courageux.
Sophie reste bouquiner, les enfants faire je ne sais pas quoi et Joël bosser sa guitare. Nous l'avions incité à la prendre... et nous n'avons même pas trouvé le temps de nous faire un petit récital (tu vois Claire, tu n'as rien manqué !)
Nous avions prévu de pousser à Saint-Mathurin sur Loire, de l'autre côté du fleuve, mais de nouveau, il fait très chaud et nous préférons rester sur un petit chemin ombragé qui longe la Loire.
Après quelques kilomètres, Coco nous avoue ne pas être un grand marcheur. Nous faisons alors demi-tour et une pause bien méritée ! Voyez comme nous avons l'air malheureux !
Ce soir, pour marquer la fin de notre semaine équestre, nous allons au restaurant du village. Il fait bon et la terrasse est très agréable. Michel teste la spécialité du coin : l'anguille. Les autres restons plus traditionnels.
Et je teste le retardateur de mon appareil-photo. Vraiment Stéphane nous manque... je suis loin d'être au point !
En résumé. Super semaine. Les chevaux se sont bien entendus, enfin presque... Le dernier jour, Iquito était un peu à l'amende ; les autres en avaient marre qu'il pique dans leur gamelle ! Même Rio, pourtant de très bonne composition.
Et les humains aussi. C'était la première fois que Coco et Sophie nous rejoignaient et leur compagnie fût des plus agréables.
C'est ça le plus des associations, partager des choses, avec des personnes que nous n'aurions pas automatiquement rencontrées dans notre contexte habituel. Que Laurène avec ses 19 ans passe ses vacances avec Coco et ses 75 printemps, c'est quand même pas banal.
Tout ça pour dire, on part où l'an prochain ?